Écrire à une inconnue, un ami, un frère ou une veilleuse de nuit. Écrire, cet inconnu et obscur objet du désir.
Slam de premier de l’an

Écrire à une inconnue, un ami, un frère ou une veilleuse de nuit. Écrire, cet inconnu et obscur objet du désir.
Je ne suis pas sortie aujourd’hui. J’aurais dû ?
Ne pas flancher, il me reste à passer cette dernière journée en ta compagnie.
Un petit poème inspiré par la chute d’une bouteille de lait et quelques ennuis domestiques.
Vingt ans après Diên-Biên Phù, Alexandre, un ancien soldat français, revient au Viêtnam sur les traces de la « fille au visage lune ».
Il s’éloignait. Prendre un certain recul, arrêter d’un geste las, l’attente insidieuse qui lui rongeait les sens.
Nouvelle brève, qui parle de pluie, de nuit, de tonnelle qui s’casse la gueule tellement il pleut, mais aussi d’étincelles.
J’ai mal au ventre. Comme des éclairs qui passent, des fulgurances qui s’étendent et me déchirent le bide, par bribes et crampes. J’ai mal à la tête. Une sauvage horde de chevaux en liberté, tout occupés à me labourer le crâne de leurs sabots fous. J’ai mal à la gorge. Comme des épines de feu […]