Déjà dimanche. Les jours ont une fâcheuse tendance à se succéder sans crier gare. « Et j’ai crié, crié pour qu’elle revienne… »
Jolie gare

Déjà dimanche. Les jours ont une fâcheuse tendance à se succéder sans crier gare. « Et j’ai crié, crié pour qu’elle revienne… »
Écrire à une inconnue, un ami, un frère ou une veilleuse de nuit. Écrire, cet inconnu et obscur objet du désir.
Le calme après la tempête. C’est vraiment comme ça. Le grand arbre de Noël planté sur la place du village ne s’est pas envolé, constat presque décevant en ouvrant ma fenêtre ce matin.
Je ne suis pas sortie aujourd’hui. J’aurais dû ?
Ne pas flancher, il me reste à passer cette dernière journée en ta compagnie.
Mais euh, qu’est-ce qu’il me fait WordPress là ? Il a lui-même indiqué en titre « Brouillon auto » !
Un petit poème inspiré par la chute d’une bouteille de lait et quelques ennuis domestiques.
Quel est le lien entre un canard, une adepte de culturisme et un magasin bio ?
« Savez-vous qu’au bout, c’est le bout du monde ? ». Une escale avant la fin de la route, rien qu’une petite étape.
On était le 8 mai. La poignée de messieurs-dames qui avait assisté à la cérémonie s’était dispersée on ne sait où. Pas au café, il était fermé.
Déjà deux jours qu’elle n’était pas sortie. Deux jours, c’est long.
La première brève de l’année… tu la vois, avec un peu d’écume et un goût de beurre et de sucre ?