Bienvenue sur mon blog ! Puisqu’il faut un « à propos » et que je suis -parfois- disciplinée, voici le mien.
Alors je vais tenter d’être brève. Je suis née à Paris, mais alors que j’avais passé une formidable année de maternelle à la capitale, j’ai suivi mes parents en Eure-et-Loir où nous avons aménagé dans un lotissement. Genre : une rue toute droite, des maisons de chaque côté, et des voisins formidables qui venaient d’un peu partout. Derrière la maison, il y avait des champs et encore après, un stade et une forêt qui étaient nos terrains de jeux favoris.
Après une enfance passionnante (ok, on avait dit court) à une époque où les téléphones portables n’existaient pas (je suis donc du moyen-âge), avec ma meilleure pote, on écrivait des romans d’aventure. Bien sûr, nous étions les héroïnes supers belles et pas connes, et notre vie aurait été géniale s’il n’y avait pas eu dans les parages les ineffables Henry Thierry alias HT, et son acolyte Eric.
Heureusement, on avait une super bande de potes, et comme c’était nous qui écrivions, ben ça se finissait toujours bien. Et voilà, j’avais chopé le virus de l’écriture. Depuis, il ne m’a jamais vraiment quitté, et je dois parfois encore me battre contre des sadics, mais souvent, c’est la vie quotidienne qui me donne le plus de fil à retordre.
Fanzines, poèmes, livres jamais publiés (encore un coup d’HT), articles et tadam : le blog est né en 2016 et j’y publie irrégulièrement de courtes histoires inspirées du quotidien, de mes lectures ou sorties et de mes rencontres.
Aujourd’hui, j’habite en Côtes d’Armor où je fais parfois des maquillages dans les festivals et où j’adore écumer brocantes, ressourceries, concerts, spectacles, théâtres ou simplement me poser à une terrasse de café ou sur une plage (parfois les deux sont possibles et c’est magique) pour bouquiner ou regarder les gens qui passent.
Je suis sur Facebook mais de moins en moins en ce moment https://www.facebook.com/lesbrevesdagnes/
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Agnès Blin // Mai 2020
Les brèves d'Agnès 
C’est cool de retrouver les brèves sur la toile!
Ah! Le festival rock de 1992… pour info les poiriers / pommiers ont été tronçonnés sur l’hôtel de la croissance immobilière.
Comme dans la chanson, le verger à laissé sa place à une résidence de standing à deux pas de la gare, tous commerces à proximité…. Et la salle des fêtes n’est plus qu’un souvenir qui s’étiole dans les têtes usées des vieux rockabilly rangés des camions…
Mais qui s’en soucie?
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Ah mais si, voilà quelqu’un qui s’en soucie encore ! Que de souvenirs encore frétillants et qui fleurent bon la bière aux relents de pastis qu’on buvait à l’époque. Les vieux rockabillys sont encore là, peut-être éteints va savoir.. Heureuse de ces nouvelles fraîches du front et au plaisir de te lire 🙂
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bah ça fait article de fanzine la dernière, c’est bien aussi, c’est moins la surprise de d’habitude quoi.
Et pis y’a une tite faute je crois , je sais plus ni la phrase ni où c’est exactement, t’auras qu’à la relire tiens! 😉
Ah et aussi t’as écrit « tiens, vient » c’est pas plutôt « tiens, viens »?
(après, moi aussi je viens du 28 à la base, alors j’ai des séquelles…)
Bon enfin j’ai plus vu des trucs comme-ça que « le zicos en question » ou « le concert en lui-même » en fait, je suis pas branché Belin moi, à part à l’apéro of course! (on n’a pas dû lui faire cent fois je pense, il va finir par craquer)
En tout cas la subtile allusion assassine (dans le dos! en traître, ou traîtresse plutôt?) passe bien, je ne doute pas qu’ à lire l’ensemble de tes brèves on devine le profil de plusieurs personnages en filigrane…
la vengeance se savoure froide, les brèves se dégustes tièdes, les mots sortent chauds de la plume… on bout pour la prochaine!
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Merci Ben Sy 😉 Ben vrai tout ça, l’esprit du fanzine, ça doit forcément ressortir ! N’en déplaise à Doc Larsen !!!
Je suis d’ailleurs en train de fouiner dans mes archives du zine, que je vais sans doute partager bientôt.
A très vite pour la prochaine !
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